Si quelque chose se rencontre alors à l’endroit indiqué, ce n’est pas elle, mais un de ses précédents ou une de ses suites, un événement qui lui est lié et qu’elle désigne, réel sans doute, mais autre qu’elle-même, et qui, par une correspondance heureuse, l’accompagne ordinairement à l’état normal.
Par la même raison ou plutot par le même fanatisme, lorsqu’un oiseau avoit été de bon augure, et que ce qu’on devoit atendre de cet heureux présage étoit détruit par un augure contraire, ce second augure ne s’apeloit point mauvais augure ; mais simplement l’autre augure, ou l’autre oiseau. […] Le poème du vice puni est rempli d’aplications heureuses de vers de nos meilleurs poètes : ces aplications sont autant de parodies.