Entre le plus haut son sensible, qui n’a pas quarante mille vibrations par seconde, et le plus bas rayon de lumière perceptible, ayant à peu près quatre quatrillions d’ondulations par seconde, il existe un nombre énorme de mouvements rythmiques dont aucun n’a obtenu sa contrepartie subjective dans l’organisme humain.
Certes, l’enthousiasme de Bettine pour Goethe n’est pas un enthousiasme banal : il s’harmonise avec l’imagination, avec la haute fantaisie et le sens naturaliste du grand poète de Weimar.