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606. (1913) Les livres du Temps. Première série pp. -406

Il admet sa sincérité ; il ne rabaisse pas non plus Émilie, qu’il peint comme une héroïne admirable. […] Les Grecs ne se gênaient pas pour blaguer leurs héros et leurs dieux. […] Les héros sont peut-être spécialisés, tout comme les gens ordinaires. […] Son héros était sur la pente dès qu’il négligeait, pour de vains caprices, l’enseignement paternel. […] Rafaël, le héros de M. 

607. (1857) Réalisme, numéros 3-6 pp. 33-88

Champfleury est de décrire cela si clairement que le lecteur passe par toutes les anxiétés du héros et partage ses douces émotions. […] Et puis Balzac a-t-il, dans son désir de luxe, employé les moyens qu’il fait employer à quelques-uns de ses héros ? […] Cette phrase n’est donc pas de notre Balzac, c’est du Balzac jeune qui faisait la tragédie classique dont Cromwell était le héros. […] Qu’ils aient des passions de héros et de dieux. Ne connaissant que des gens pareils à nous, nous ne savons comment s’expriment des passions de dieu ou de héros, mais il est mathématiquement évident qu’en représentant ces passions autrement que tu le ferais pour des petits-bourgeois du dix-neuvième siècle, en les représentant, par exemple, comme étant un peu gens de pierre ou de bois, tu éviteras la trivialité, et tes personnages n’étant pas de vrais hommes, ne pourront être acclamés que dieux ou héros.

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