Il y éprouvait la tristesse d’un génie qui n’a plus de patrie, et qui, sous le voile abaissé de lourdes paupières, la cherche en lui-même ; la figure qui occupe le passage entre la nature et la pensée ; un vaincu de la vie active, un héros du monde intérieur.
Un lavement anodin, reçu sur un champ de bataille, en présence d’une armée, cela est singulier ; mais cela est vrai et connu de tout le monde… » A quoi Voltaire répond gaillardement : Héros du Nord, je savais bien Que vous aviez vu les derrières Des guerriers du roi très chrétien A qui vous tailliez des croupières. […] Contre le vil croquant tout honnête homme éclate Avant que sur sa joue ou sur son omoplate Des rois et des héros les grands noms soient vengés Par l’empreinte des lis qu’il a tant outragés.