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226. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LXV » pp. 254-255

. — un cas de guerre avec l’angleterre. […] — On assure que nous venons d’échapper à un cas de guerre avec l’Angleterre, que la crise était des plus graves et que cela n’a tenu qu’à l’épaisseur d’un cheveu.

227. (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Le duc de Lauzun. » pp. 287-308

Parlant de la guerre de Corse, où il voulait aller (1768) : « Une probabilité d’avoir des coups de fusil était trop précieuse, pour la négliger, dit-il ; je n’étais pas assez bien avec tous mes parents pour qu’ils craignissent de me faire tuer. […] Quand il part pour la guerre d’Amérique, il nous peint en traits fort gais les officiers généraux les uns après les autres : tout l’état-major y passe. […] Dans la guerre de Corse, un trait assez piquant peint les mœurs françaises d’alors. […] Mais, auparavant, Lauzun servit avec honneur dans la guerre d’Amérique, et ses Mémoires se terminent précisément avec cette guerre (1783). […] La Fayette, qui l’avait vu de près et qui le juge sans rancune, dit, à propos d’un premier échec que Biron essuya près de Valenciennes, qu’avec toutes ses qualités brillantes il était « dépourvu du tact militaire si indispensable à la guerre », et que son esprit lui en faisant plus vivement sentir le défaut, il était sujet à tomber dans l’irrésolution38.

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