Et cela devait être, dans une civilisation rudimentaire, dans une société imparfaitement assise, où la guerre était encore l’état naturel et où, d’autre part, les sciences physiques étant peu avancées, l’homme se sentait plus entouré de mystère, comme menacé par des forces inconnues… La vie de ces gens-là offrait aux aventures une bien autre prise que notre vie à nous, peuple de bourgeois et d’employés que nous sommes !
Que j’aurais voulu, lors de la guerre en Grèce, qu’un voyageur m’eût parlé de la marchande d’herbes qui promène sa corbeille le long de la rue d’Eole, le matin !