Doudan, qui va maintenant s’éclairer de ces deux volumes, ne fut guères éclairé pendant les soixante-treize ans de sa vie que par les lampes et les candélabres du salon des de Broglie.
Il ne croyait guères à Dieu, et il acceptait en libre penseur les espérances imbéciles de tous les premiers salueurs de la Révolution.