Et qu’importe, reprend-elle, ce sont des épigrammes à la Grecque. […] Mademoiselle , repartit aussitôt Racan, c’est une soupe à la Grecque.
» Sous ce nom de liberté, les Romains se figuraient, avec les Grecs, un état où personne ne fût sujet que de la loi, et où la loi fût plus puissante que personne. » À nous entendre déclamer contre la religion, on croirait qu’un prêtre est nécessairement un esclave, et que nul, avant nous, n’a su raisonner dignement sur la liberté : qu’on lise donc Bossuet à l’article des Grecs et des Romains.