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1693. (1891) Impressions de théâtre. Cinquième série

Parfois je me désole et j’ai honte de ne savoir, en tout et pour tout, que ma langue natale, un peu de latin, très peu de grec ; et je me demande avec confusion comment j’ai pu suivre jadis, pendant huit ans, le cours inférieur d’allemand, et pendant un an, le cours moyen (pour changer) sans apprendre un mot de la langue de Goethe et de Hegel. […] Si l’on met à part le divin peuple grec, qui est la merveille unique de l’histoire, la simplicité ne se trouve, même chez les primitifs, qu’à l’état d’exception. […] Et elle lui a répondu qu’elle le suivrait partout, car « elle étouffe à Rome… » Mais, au moment où ils vont être heureux, un traître, l’intendant Phormion, un mauvais Grec, affranchi de Métella et qui avait formé le projet insolent d’épouser sa patronne, fait assassiner Gallus par des gladiateurs.

1694. (1856) À travers la critique. Figaro pp. 4-2

s’écrie le poète, et il s’empresse de donner à l’invention de Fulton, un nom grec, le Pyroscaphe. […] L’Odéon vient de représenter Maître Favilla, qui a réussi ; — ce drame est l’œuvre d’une plume que j’ai appris à respecter ; — l’empressement de la foule consacre chaque soir avec éclat le succès de la première soirée ; — et dimanche dernier, à cette place où, effrayé de mon isolement, je m’apprête à protester contre un fait accompli, mon camarade Villemot, à l’imitation du philosophe grec qui ajouta trois cordes à l’ancienne lyre, attachait un boyau de plus à sa joyeuse guitare, afin de pincer sur un ton héroïque la ritournelle de l’enthousiasme, et de faire sa partie, en compagnie de la presse, dans le concerto joué par maître Favilla sur son stradivarius fantastique. — Tout le monde a pris le la, moi seul, brisant un diapason accepté, j’entends faire siffler la note dissonante de ma critique !

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