C’est ainsi que les Grecs furent enivrés jadis par les rêveries d’un sublime rêveur appelé Platon, qui, dans un livre appelé sa République, leur écrivit des absurdités contre nature qu’un enfant réfuterait, mais qui font les délices du monde depuis plus de deux mille ans.
Je l’ai fait, ajoute-t-il, d’abord pour complaire au duc et gagner sa faveur ; ensuite pour dompter mon corps, et par conformité à ce que j’ai lu dans certains philosophes grecs, que l’ivresse était quelquefois salutaire.