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605. (1857) Causeries du samedi. Deuxième série des Causeries littéraires pp. 1-402

L’auteur ne nous fait grâce ni d’une ventouse, ni d’un sinapisme, ni d’aucun des médicaments que l’on peut administrer à un malade. […] La nature, pour se livrer dans toute la grâce de ses harmonies et de ses mystères, n’aime pas qu’on lui arrive le sceptre à la main et la couronne sur la tête. […] Grâce à M.  […] On le sait, et l’auteur lui-même nous le déclare avec une modestie pleine de grâce, M.  […] Grâce à cette méthode où M. 

606. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « À Monsieur P. Bottin-Desylles »

Je désirerais que toutes les pensées qui sont ici, fussent vos pensées, ou qu’il y en eût, au moins, quelques-unes que vous ne désavoueriez pas… Vous l’homme des sentiments exquis en toutes choses, vous devez avoir sur les femmes les idées qu’ont sur elles les esprits délicats, discernants, qui les aiment et qui ne veulent pas les voir se déformer dans des ambitions, des efforts et des travaux mortels à leur grâce naturelle, et même à leurs vertus… Vous êtes, mon cher Desylles, d’une supériorité trop vraie pour ne pas vous connaître en supériorités, et celle de la femme n’est pas où la mettent les Bas-bleus.

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