C’est par là, en effet, — c’est par les attaches, les articulations, la grâce des mouvements, — et il n’y a jamais de force sans grâce, — que pèche le vers de M.
Il est grand encore quand ordinairement on cesse de l’être : il est grand même quand il est gracieux ; car il a la grâce de la force, — la grâce des lions, lorsque les lions sont amoureux.