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13. (1861) Cours familier de littérature. XII « LXXe entretien. Critique de l’Histoire des Girondins » pp. 185-304

Que deviendrait le respect, ce grand auxiliaire moral des gouvernements ? […] Ces instances du nouveau gouvernement furent si vives, que M.  […] Cette période de gouvernement parlementaire était de nature à dégoûter des régimes mixtes de gouvernement ; ce n’était qu’une oscillation sur l’abîme avant d’y tomber. […] Une erreur de jugement était la ruine d’un gouvernement et peut-être une anarchie de la France et une combustion de l’Europe. […] Thiers, se hâta d’accourir pour se saisir de ce gouvernement désorienté.

14. (1861) Cours familier de littérature. XII « LXXIe entretien. Critique de l’Histoire des Girondins (2e partie) » pp. 305-367

Mais quel est donc votre gouvernement ? […] Le gouvernement alternatif, répondrai-je ; le gouvernement parlementaire quand on veut penser, le gouvernement dictatorial quand on veut agir, le gouvernement mixte quand on veut à la fois agir et délibérer. […] Les événements le disent assez, la perfection idéale d’un gouvernement est le rêve qui les fait tous tomber, sans parvenir à rien de meilleur. […] Espérons donc, sans trop croire à nos espérances, et voyons comment le dégoût du gouvernement parlementaire, quand il régnait sur nous, me conduisait à désirer le gouvernement de tous, au lieu du gouvernement des aristocrates de tribune. […] Est-ce là le gouvernement parlementaire ?

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