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682. (1891) La vie littéraire. Troisième série pp. -396

J’ai un goût ancien et toujours nouveau pour l’esprit de M.  […] Il a l’esprit libre avec le goût des croyances. […] La muse populaire a beaucoup de goût pour les filles déguisées en militaires. […] Le poète a beaucoup de goûts pour ses payses. […] Il a plus encore le goût du péché.

683. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre VII. La littérature et les conditions économiques » pp. 157-190

Le goût des voyages, inhérent aux commerçants (témoin les Anglais qui sont le peuple le plus commerçant et le plus vagabond du monde), passe peu à peu aux autres classes de la nation. […] Ton seigneur et maître, c’est le public qui te paie ; écris selon son goût, non selon le tien. […] Qu’on regarde un de ces moments où le goût des choses de l’esprit pour une cause ou pour une autre se répand dans la nation. […] Le lien qui rattache un auteur à ceux qui achètent ses œuvres est d’autant plus lâche qu’ils sont pour lui des inconnus et se divisent en groupes différents de goûts et d’opinions. […] Ce qui est plus grave, c’est que parfois le commerçant qu’est nécessairement l’éditeur impose ou du moins cherche à imposer certains goûts à l’auteur qui ne peut sans lui atteindre au grand soleil.

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