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676. (1874) Premiers lundis. Tome II « Li Romans de Berte aus Grans piés »

En annonçant avec un vif plaisir7 cette publication érudite et pleine de goût que M.  […] Mais à prendre les choses par un côté plus exclusivement français et gaulois, plus littéraire, en abordant nos vieux romans suivant l’aspect plus familier à nos érudits, en venant modestement à la suite de Lamonnoye, de Bouhier, de Sainte-Palaye, des savants auteurs de l’Histoire littéraire, sans arriver de l’Allemagne ni s’être nourri des Æebelungen ou des Eddas, mais s’adressant tout simplement à M. de Monmerqué, il y a lieu, sous le rapport du goût et d’une critique soigneuse et délicate, de faire des travaux précieux sur les vieux monuments de notre langue.

677. (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre deuxième. »

La morale de cet Apologue est si évidente, que le goût ordonnait peut-être de ne pas y joindre d’affabulation ; c’est le nom qu’on donne à l’explication que l’auteur fait de sa fable Fable VIII. […] Il y a bien de l’esprit et du goût à savoir tout anoblir sans donner aux petites choses une importance ridicule.

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