Paul Verlaine Voici donc enfin retrouvée la « bonne chanson », si j’ose m’exprimer ainsi, non plus celle si piquante de Désaugiers, si correcte de Béranger, si bourgeoise, dans le bon sens, de Nadaud, mais plutôt, à mon avis, la chanson simple et vivante, dans le goût de Pierre Dupont, avec je ne sais quoi de la grâce du xviiie siècle et la poésie vraie.
Il l’est dans sa tendre et pénétrante mélancolie ; il l’est par son amour pour la mer, par son goût pour les contes de lutins et d’ogres qu’on se plaît à débiter gaillardement après avoir bu un pichet de cidre.