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28. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Vauvenargues » pp. 185-198

Il ne le présentait pas et il ne le recommandait pas à la Gloire comme un jeune homme à qui on veut du bien. […] Si Vauvenargues n’était pas mort au milieu de cette gloire, il aurait eu le sort de tous les favoris. […] puisqu’il aimait la gloire, Vauvenargues a bien fait de mourir. […] Eh bien, même sur ce point, comme sur les autres, Vauvenargues faisait sa réserve de gentilhomme : « Il n’y a pas de gloire, — écrit-il quelque part, — de gloire complète, grande, sans l’éclat des armes !  […] Des deux côtés, il a manqué la gloire.

29. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XV. Vauvenargues »

Il ne le présentait pas et il ne le recommandait pas à la Gloire comme un jeune homme à qui on veut du bien. […] Si Vauvenargues n’était pas mort au milieu de cette gloire, il aurait eu le sort de tous les favoris. […] Certes, puisqu’il aimait la gloire, Vauvenargues a bien fait de mourir. […] « Il n’y a pas de gloire, écrit-il quelque part, de gloire complète, grande, sans l’éclat des armes. » Ah ! […] Des deux côtés, il a manqué la gloire.

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