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354. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 453-456

Mais une telle que la vôtre, Ne se doit jamais hasarder ; Pour votre bien, & pour le nôtre, Seigneur, il vous la faut garder, C’est injustement que la vie Fait le plus petit de vos soins ; Dès qu’elle vous sera ravie, Vous en vaudrez de moitié moins.

355. (1763) Salon de 1763 « Peintures — Chardin » pp. 220-221

Pour regarder les tableaux des autres, il semble que j’aie besoin de me faire des yeux ; pour voir ceux de Chardin, je n’ai qu’à garder les yeux que la nature m’a donnés, et m’en bien servir.

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