Massillon fut reçu à l’Académie française le 23 février 1719, en remplacement de ce même ami, l’abbé de Louvois, qui lui avait déjà valu l’évêché de Clermont13.
[NdA] Si j’osais prendre un nom qui résumât toute ma pensée, je dirais qu’il y a du Joseph Delorme dans ce Chateaubriand primitif : ce que j’ai voulu en effet dans Joseph Delorme, ç’a été d’introduire dans la poésie française un exemple d’une certaine naïveté souffrante et douloureuse.