Il y avait alors trop de Français à Rome, ce qui le fâche. […] Le maître du Sacré-Palais et l’un de ses collègues, en le lui rendant, firent bon marché de la censure qu’on y avait jointe et qui était du fait d’un frater français assez ignorant. […] J’appelle Montaigne « le Français le plus sage qui ait jamais existé. » 22.
Dans tous les autres cas, s’il ne peut obtenir l’amitié des sauvages par les bons traitements, il cherchera à les contenir par la crainte et les menaces, mais il ne recourra aux armes qu’à la dernière extrémité, seulement pour sa défense et dans les occasions où tout ménagement compromettrait décidément la sûreté des bâtiments et la vie des Français dont la conservation lui est confiée. […] Quand on le lui annonça, elle ne pouvait y croire ; elle accusa la justice française ; elle plaignit ceux qui y étaient soumis. […] C’est odieux et révoltant ; plaignez-moi, ma bonne sœur, je ne méritais pas cette injure, moi qui ai cherché à faire tant de bien à tout ce qui m’entoure, et qui ne me suis souvenue que j’étais fille de Marie-Thérèse que pour me montrer toujours ce qu’elle m’avait recommandé en m’embrassant à mon départ, Française jusqu’au fond du cœur !