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316. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 248-249

Cette maniere de disputer pouvoit être excusable dans un temps où l'on n'avoit pas encore dit : « Il est bien cruel, bien honteux pour l'Esprit humain, que la Littérature soit infectée de ces haines personnelles, de ces cabales, de ces intrigues, qui devroient être le partage des esclaves de la fortune.

317. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

Ainsi, don Juan lui-même, au milieu de ses bonnes fortunes, porte à sa lèvre consolée le gage rustique de quelque villageoise ! […] Les Comédiens avaient compté sur Tartuffe pour leur fortune, Molière y comptait pour sa gloire. […] Vous savez, et les races futures le sauront, si les principaux acteurs de cette petite comédie ont eu à subir des fortunes bien diverses. […] Il n’a plus besoin de fortune à présent, pour être considéré. La parole est plus qu’une fortune, c’est une royauté.

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