Monsieur Crozat a extrait des registres de l’abbaïe de saint Jean de Parme plusieurs preuves, qui font voir que Vasari se trompe dans l’idée qu’il donne de la fortune du Correge, et sur tout dans le récit qu’il fait des circonstances de sa mort. […] En homme sans expérience du monde, il jugeoit de la superiorité du mérite de Raphaël sur le sien, par la difference de leurs fortunes.
Louis Bouilhet a trouvée — en la cherchant ou sans la chercher, — et elle a été sa fortune. Cette fortune, du reste, ne se démentira pas, nous le lui prédisons.