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766. (1914) Une année de critique

Assurément les tendances de sa pensée me paraissaient fort dangereuses. […] Ces hommes d’esprit ressemblent fort aux nigauds du progrès dont parle André Hallays. […] Georges Lendrieux, je l’avoue, me plaît fort. […] Il a enflé ses joues et soufflé très fort, et la brume des fjords a quitté notre ciel. […] Il y voit le livre par excellence, « le livre pour les forts ».

767. (1911) La morale de l’ironie « Chapitre III. Les immoralités de la morale » pp. 81-134

La morale prêchant le bien à la vie, c’est souvent un aveugle enseignant à de fort médiocres artistes des théories sur la ligne et la couleur. […] L’une des deux sociétés étant plus grande, plus forte, représentant une systématisation plus large, peut être considérée comme devant être le centre directeur de la conduite. […] Son action sur celle-ci est plus forte, ou plus tortueuse que franchement systématisée. […] L’égoïste fort et peu scrupuleux néglige ou repousse les recommandations de l’âme sociale. […] Mais en fait, cela fut impossible, et elles apparaissaient d’autant plus vivaces et plus fortes, et même elles existaient d’autant plus.

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