Il y a dans votre article deux phrases et deux raisonnements qui m’ont arrêté, parce qu’ils contiennent un monde dans leurs lianes ; le reste de l’écrit n’est qu’un fond de tapisserie.
Ainsi le fond de la farce peut être de Molière ; on ne l’avait point porté plus haut de ce temps-là ; mais comme toutes les farces se jouaient à l’improvisade, à la manière des Italiens, il est aisé de voir que ce n’est point lui qui en a mis le dialogue sur le papier ; et ces sortes de choses, quand même elles seraient meilleures, ne doivent jamais être comptées parmi les ouvrages d’un homme de lettres ». […] Mais de cette plainte susdite N’ayant pas su la réussite, Je veux encore être en ce cas Disciple de Pythagoras, Et sur un tel sujet me taire, Ne sachant le fond de l’affaire.