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581. (1927) André Gide pp. 8-126

On devine que ce prince, c’est la foi, qui mobilise les nations et déplace les montagnes, mais s’accommode mal des curiosités indiscrètes. […] André Gide nous enseigne ici que l’iconoclastie est un mouvement religieux et un acte de foi retourné, psychologiquement très voisin de la foi proprement dite. […] André Gide entend-il approuver cette double conversion finale et pense-t-il qu’elle soit logiquement exigée par l’aventure, où le père de Jacques n’a pas trouvé dans sa foi trop latitudinaire d’abri contre les faiblesses du cœur ? […] Contrairement à Pascal, sa foi ne dépend ni des prophéties, ni des miracles. […] La foi de M. 

582. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « de la littérature de ce temps-ci, a propos du « népenthès » de m. loève-veimars (1833). » pp. 506-509

Dites que l’art de nos jours est sans but, sans foi en lui-même, sans suite et sans longue haleine en ses entreprises : et l’on vous objectera, parmi nos poëtes, le plus célèbre et le plus opiniâtre exemple, toute une vie donnée à la restauration de l’art.

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