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1794. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Mademoiselle Aïssé »

Après cela, messieurs, comment ajouter foi à des Lettres où l’on voit Mlle Aïssé évidemment ingrate et méchante, et où l’on peint Mme de Ferriol, que tout le monde estimait, comme une femme capable de donner à sa fille d’adoption des conseils pernicieux, et de la sacrifier à sa vanité ou à son ambition ?

1795. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « M. de Rémusat (passé et présent, mélanges) »

Et pourtant il a foi, il se confie volontiers en l’instinct public, en la raison croissante des masses.

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