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1738. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome IV pp. -328

Bien d’autres avoient jetté des fleurs sur la tombe d’Arnauld.

1739. (1836) Portraits littéraires. Tome II pp. 1-523

Quand le poète parle en son nom, même en racontant, il peut impunément broder sa parole et sa pensée, y semer les arabesques, les fleurs, les rosaces, les mascarons ; il la peut faire brillante et variée comme un tapis de Smyrne ; il peut la découper en trèfles mauresques, en dentelles, comme les palais de Grenade ou de Venise. […] le cardinal ministre qui gouvernait Louis XIII pour régner sur la France, n’a jamais plié le genou devant les têtes les plus hautes ; toutes les fois qu’il a vu sa puissance en péril, il a traité les couronnes de perles et les couronnes à fleurons comme Tarquin les fleurs de sa villa ; mais on le sait, Richelieu n’aimait pas le sang pour le voir couler ; les hommes qui lui faisaient obstacle n’étaient que des chiffres importuns qu’il rayait d’un trait de plume.

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