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1735. (1895) La musique et les lettres pp. 1-84

J’insiste sur le mot du passé — il aide à se dégager, avec soupir, d’une leçon, majestueuse comme un chœur ; qui ne se taira — ni l’intonation d’un Fellow disert toujours, avec aptitude, sur des sujets français, fins, littéraires pour peu qu’il en reste — indéniablement, à cette date du printemps en cent ans, et plus ! […] J’ai pu me figurer l’heure d’une fin de jour d’hiver, aux vastes fenêtres, pas l’ennui, qui frappa latéralement une compagnie avec goût composée. […] Une somnolence reposant la cuiller en la soucoupe à thé, lu un article jusqu’à la fin dans quelque revue, vaut mieux, avec le coup d’œil clos que mitre la présence aux chenêts de pantoufles pour la journée ou le minuit.

1736. (1883) Souvenirs d’enfance et de jeunesse « Appendice »

C’est avec un effroi indicible que je vois approcher la fin des vacances, époque où je devrai nécessairement traduire par les actes les plus décisifs l’état intérieur le plus indéterminé. […] Je pris pour mon partage cette vérité qui est le Dieu caché ; je me consacrai à sa recherche, renonçant pour elle à tout ce qui n’est que profane, à tout ce qui peut éloigner l’homme de la fin sainte et divine à laquelle l’appelle sa nature. […] Il en est d’autres plus fins, mais ils n’abordent pas la question.

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