Stuart Merrill en ses Petits poèmes d’automne, donnèrent de si parfaits exemples, veulent, pour s’épanouir, des parterres clos sous les fines brumes d’avril, le calme des crépuscules ou la candeur indécise du petit jour.
Ce sont de fines tapisseries où, sur fond d’argent, se devine un dessin de légende un peu pâle et comme déjà effacé.