Les filles de Gorgibus parlaient ainsi. […] Vous me prendrez chez vous à sa place, je vous ferai alors marcher cette jolie fille au doigt et à l’œil. […] Il est respecté par les plus riches bourgeois, qui lui font la cour espérant épouser sa fille. […] Tu es une vertueuse fille qui aime bien son papa ». […] Il travaillait de ses mains, se louait à la journée, et avait épousé la fille d’un restaurateur.
Elle est déplorablement bonne fille.