Archéloüs avec sa femme et sa fille. […] Un Achille déguisé en fille. […] Les Filles d’Esculape, Hygie, Églé, Panacée, Laso. […] Le Père Sicard, parlant d’un petit temple situé au milieu des grottes de la Thébaïde, dit : « La voûte, les murailles, le dedans, le dehors, tout est peint, mais avec des couleurs si brillantes et si douces, qu’il faut les avoir vues pour le croire… » Au côté droit, on voit un homme debout, avec une canne de chaque main, appuyé sur un crocodile, et une fille auprès de lui, ayant une canne à la main.
Comme d’une mère pourrie sort une fille pourrie, sortie de petites et viles causes elle demeure, hormis la grandeur des forfaits qu’elle inspira, petite et vile dans son esprit, ses institutions et ses hommes. […] Pour mieux montrer que la Révolution ne fut point la fille de la philosophie du xviiie siècle, Cassagnac publie un exposé de l’organisation de la censure, un état de la librairie et un relevé d’arrêts du Parlement qui démontrent, avec la netteté d’une statistique, que les livres des philosophes n’avaient été lus au xviiie siècle que dans les hauteurs de la société, et qu’ils n’étaient jamais descendus assez dans les masses pour s’y propager et les incendier. […] On avait, par une confusion inattentive, établi un rapport de cause à effet entre la Révolution et la philosophie ; Cassagnac l’a brisé avec un discernement remarquable, et des preuves qu’il apporte d’une opinion si nouvelle il résulte que, bien loin d’avoir été la fille de la philosophie, la Révolution en a été la mère adoptive, qu’elle l’a prise dans l’obscurité et présentée au monde, parce que, pendant et après son triomphe, elle a trouvé dans les doctrines de cette philosophie un prétexte pour ses crimes et une justification pour ses excès. […] Pouvait-il changer, lui, le garde de la constitution de la monarchie, cette constitution, fille des temps ?