Or à travers les gestes des princesses fabuleuleuses, des princes charmants et des fées mystérieuses, ces filles de l’illusion, à travers « l’image invertie des miraculeuses bulles d’iris que le songeur s’amuse à gonfler » nous découvrons l’attitude grave de la vie spirituelle, la constante aspiration vers l’être et la plus belle existence.
On oublie trop que c’est avec le romantisme qu’est née la grande critique française, et que, si elle l’a combattu, si elle a montré souvent au foyer paternel une figure injuste et renfrognée de fille montée en graine, il n’en demeure pas moins qu’elle n’existerait pas sans lui.