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1827. (1911) L’attitude du lyrisme contemporain pp. 5-466

Or à travers les gestes des princesses fabuleuleuses, des princes charmants et des fées mystérieuses, ces filles de l’illusion, à travers « l’image invertie des miraculeuses bulles d’iris que le songeur s’amuse à gonfler » nous découvrons l’attitude grave de la vie spirituelle, la constante aspiration vers l’être et la plus belle existence.

1828. (1930) Physiologie de la critique pp. 7-243

On oublie trop que c’est avec le romantisme qu’est née la grande critique française, et que, si elle l’a combattu, si elle a montré souvent au foyer paternel une figure injuste et renfrognée de fille montée en graine, il n’en demeure pas moins qu’elle n’existerait pas sans lui.

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