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1080. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « UNE RUELLE POÉTIQUE SOUS LOUIS XIV » pp. 358-381

Ce n’est pas à Mme Des Houlières, mais à sa fille (ou du moins à une demoiselle de ce même cercle), qu’il l’adressa. […] Dans des vers adressés à Mlle Des Houlières la fille, Ménage l’appelle Hulleria, comme il avait appelé Mme de La Fayette Laverna ; ces noms en latin prennent un air effrayant.

1081. (1858) Cours familier de littérature. V « XXVIIIe entretien. Poésie sacrée. David, berger et roi » pp. 225-279

Il cherche à lier l’enfant par la reconnaissance à sa famille, il lui donne sa fille Michol pour femme ; mais il la lui donne pour sa ruine, dit-il lui-même, car il lui demande pour dot cent dépouilles d’ennemis, espérant qu’il périra dans tant de combats. […] « Mais le pauvre n’avait qu’une petite brebis qu’il avait achetée en nourrice, et qui avait été élevée sous son toit avec ses enfants, mangeant son pain, buvant dans son écuelle et dormant sur son sein, et il l’aimait comme sa fille ! 

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