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1240. (1911) Études pp. 9-261

mesure, comprends l’espace compris entre ces feux solitaires ! […] La joie distingue comme le feu. […] C’est ainsi que le feu prend et n’augmente sa violence qu’en se nourrissant de sa riche sécheresse. […] Elle est faite de flammes soumises, mais qui gardent la violence attachée du feu. […] Des feux.

1241. (1875) Les origines de la France contemporaine. L’Ancien Régime. Tomes I et II « Livre troisième. L’esprit et la doctrine. — Chapitre III. Combinaison des deux éléments. »

Autour de cette idée centrale se reforme la doctrine spiritualiste  Un être si noble ne peut pas être un simple assemblage d’organes ; il y a en lui quelque chose de plus que la matière ; les impressions qu’il reçoit par les sens ne le constituent pas tout entier. « Je ne suis pas seulement un être sensitif et passif413, mais un être actif et intelligent, et, quoi qu’en dise la philosophie, j’oserai prétendre à l’honneur de penser. » Bien mieux, ce principe pensant est, en l’homme du moins, d’espèce supérieure. « Qu’on me montre un autre animal sur la terre qui sache faire du feu et qui sache admirer le soleil. […] Sens-tu s’allumer dans tes veines un feu secret à l’aspect d’un objet charmant ?

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