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902. (1929) Les livres du Temps. Deuxième série pp. 2-509

Trois femmes, que M.  […] Et la femme, sinon à être une femme entre les bras d’un homme ?  […] Et si pour lui la coupe est inattendue, Que sera-ce de la femme ? […] Et certes, jamais une femme. […] Adoration à la Michelet pour l’être douloureux et sublime qu’est la femme, la vraie femme, point féministe.

903. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Rêves et réalités, par Mme M. B. (Blanchecotte), ouvrière et poète. » pp. 327-332

Il y a même dans ce volume quelques cris trop déchirants pour être confiés à l’art et qui font mal à entendre ; mais l’auteur qui, tout en les laissant échapper par moments, sait qu’il ne faut pas tout dire, et qu’il y a la pudeur de la muse et celle de la femme, a d’ordinaire exhalé ses émotions et ses larmes par un détour et à travers un léger voile qui les laisse arriver sincères encore, mais non pas trop amères ni dévorantes. […] va te montrer éblouissante et folle : Femme, garde ton voile ; enfant, ton auréole. Chacun garde une larme au fond de son regard, Ou jeune fille ou femme, ou jeune homme ou vieillard ; Heureux quand cette larme est divine et sacrée Comme le pur regret de ta vie ignorée !

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