» — s’écrie l’Hymne déjà cité, — « ô toi qui aimes les femmes à la fureur ! […] Les femmes d’Élis l’évoquaient ainsi aux fêtes du printemps : — « Viens, illustre ! […] Son deuil faisait, chaque année, toute une semaine, pleurer et délirer les femmes de l’Orient. […] La déesse voulait que chaque femme fût une Astarté pour chaque homme, que toutes fussent à tous. […] Tout autour, les femmes de l’impératrice sautent et trépignent, vêtues de peaux de bêtes.
La mienne avait la piété d’un ange dans le cœur et l’impressionnabilité d’une femme sur les traits. […] On voit les femmes et les jeunes filles sortir à demi vêtues des portes des chaumières, et peigner leurs longs cheveux avec le peigne aux dents de buis qui les lisse comme des écheveaux de soie. […] Après la soupe mangée sur la table luisante de noyer, entourée de bancs du même bois, on voit les vieilles femmes sortir toutes courbées par l’âge et par le travail. […] La chemise de la femme (haletante de peine), se colle sur sa poitrine et sur ses épaules comme si elle sortait d’un bain dans la rivière. […] Aucune des femmes ses voisines ne put proférer ni blâme ni éloge sur ce cercueil mystérieux.