On croit voir des portraits de famille dans certaines figures du tableau, telles, par exemple, que la transparente sœur madame Baptistine et la vieille madame Magloire, sœur volontaire aussi plutôt que servante de la maison épiscopale ; on croit deviner que le poète, comme le peintre Rubens, mettant partout sa femme ou sa sœur dans ses tableaux, s’est souvenu de son heureuse enfance de la rue du Colombier, et a retracé le profil de sa mère ou la face réjouie de quelque bonne tante auxiliaire de sa mère, dans les figures de ces deux saintes femmes de l’Évangile, domestiques du saint évêque de Digne. […] … Je plains Marie-Antoinette, archiduchesse et reine ; mais je plains aussi cette pauvre femme huguenote de 1685 qui, etc. » Et là-dessus l’histoire, sans doute très vraie, d’une énormité infernale commise, au nom du roi Louis XIV, par quelque abominable soldatesque, trouvant moyen de raffiner sur les supplices de religion en suppliciant la nature ! […] Je ne suis donc pas suspect d’injustice ou de ressentiment à son égard, encore moins de complicité, quoi qu’en puissent dire les vieilles femmes qui n’ont pas lu l’Histoire des Girondins, où pas un accès de fureur et de terreur n’est raconté sans être flétri ; quoi qu’en puisse écrire M. […] Et quel droit donne au peuple de Paris de 1793 de supplicier, en la bafouant sur sa charrette, l’archiduchesse d’Autriche, reine de France, le supplice hideux et lamentable de cette pauvre femme des Cévennes de 1685 ? […] Cependant elle n’était pas complète si le temps froid ou pluvieux l’empêchait d’aller passer, le soir, quand les deux femmes s’étaient retirées, une heure ou deux dans son jardin avant de s’endormir.
Des femmes folles de leurs corps, en faille bardocuculées. […] — Un homme qui hait les femmes. — g. misein, haïr, et gunê, femme. […] De nerveuses douleurs ondèrent dans la poitrine de la jeune femme. […] — Sexe de la femme.