Ce qu’on met comme étant de soi pathétique, et non comme une pièce nécessaire de l’action ou du raisonnement, est faux presque toujours et se refroidit vite : c’est du mélodrame, et bon pour un jour, au boulevard.
Longtemps encore les applaudissements et la faveur du public seront pour le faux. Mais le vrai a une grande force, quand il est libre ; le vrai dure ; le faux change sans cesse et tombe.