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2206. (1859) Critique. Portraits et caractères contemporains

Voici comment on prononce les vers au Théâtre-Français : Madame Paradol : Ou êtes de au ieux (vous êtes de faux dieux) ; mademoiselle Noblet : Tché… mu-juha (chez moi) ; puis une autre : Ah ! […] Il perdait tout ce qui lui restait d’Annette en perdant cet enfant de leurs chastes amours ; il perdait, en perdant son fils, un ami, un camarade, un disciple, une force, un appui ; il avait élevé avec le plus grand soin ce fidèle compagnon de ses travaux, ce constant associé de sa fortune, et, quand enfin l’œuvre et l’enfant grandis ensemble allaient combler l’ambition et les vœux du père de famille, arrive la mort qui, d’un coup de sa faux dédaigneuse, tranche, en passant, cette humble destinée.

2207. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre II. La Renaissance. — Chapitre II. Le théâtre. » pp. 2-96

Rien de plus faux que le Guillaume Tell de Schiller, ses hésitations et ses raisonnements ; voyez par contraste le Gœtz, de Gœthe. —  En 1377, Wyclef plaidait dans l’église de Saint-Paul devant l’évêque de Londres, et cela fit une dispute.

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