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2047. (1898) Manuel de l’histoire de la littérature française « Livre II. L’Âge classique (1498-1801) — Chapitre premier. La Formation de l’Idéal classique (1498-1610) » pp. 40-106

« Nous autres Allemands… nous sommes comme une toile nue, mais les Italiens sont peints et bariolés de toutes sortes d’opinions fausses… Leurs jeûnes sont plus splendides que nos plus somptueux festins… Si nous dépensons un florin en habits, ils en mettent dix à un vêtement de soie… Ils célèbrent le Carnaval avec une inconvenance et une folie extrêmes. » [Cf.  […] Et voudrait-on encore que nous lui fussions reconnaissants de l’idéal de fausse vertu, sentimentale et déclamatoire, dont ses Lycurgue et ses Philopœmen, ses Caton et ses Brutus ont offert des modèles à nos publicistes ou aux membres de nos assemblées révolutionnaires ?

2048. (1864) Le positivisme anglais. Étude sur Stuart Mill

Plusieurs l’ont jugée inutile, mais personne n’a osé la dire fausse. […] En effet, sitôt que la conclusion n’est plus contenue dans les prémisses, le raisonnement est faux, et toutes les règles compliquées du moyen âge ont été réduites par Port-Royal à cette seule règle, que la conclusion doit être contenue dans les prémisses.

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