Mais l’auteur de La Ciguë et de Gabrielle ne se contente pas d’être un faiseur de comédies faciles, un Aristophane inoffensif et lâché d’une époque qui n’aime l’énergie que sous les murs de Sébastopol : il est aussi poète lyrique et élégiaque à ses heures.
Nous connaissions des athées tranquilles, de la plus insolente tranquillité dans leur orgueil d’athées ; même de faibles femmes, tant il est facile d’être impie !