Dans l’air, dans la nuit, dans l’haleine de l’ombre, il y a un souffle qui s’exhale, une aile qui s’essaye.
Nous retrouvons Hugo, dans la salle à manger, debout et tout seul, devant la table, préparant la lecture de ses vers : une préparation qui a quelque chose de la manipulation préventive d’une séance de prestidigitation, où le prestidigitateur essayerait dans un coin, ses tours.