En revanche, et justement en vertu de cette même structure d’esprit, Taylor imagine les objets, non pas vaguement et faiblement par quelque indistincte conception générale, mais précisément, tout entiers, tels qu’ils sont, avec leur couleur sensible, avec leur forme propre, avec la multitude de détails vrais et particuliers qui les distinguent dans leur espèce.
Patience le feuilletoniste va vous en lâcher bien d’autres, à commencer par la phrase suivante : « Que non pas l’admiration, car l’auteur en mérite bien plus que son œuvre mais l’espèce d’adoration extatique dont ses pièces sont momentanément l’objet, est une mode de plus à ajouter à toutes celles dont l’esprit humain s’est vu successivement insanifié, etc. » Insanifié, plaît-il ?