Dans la jeunesse on regarde volontiers les idées comme erreurs ou vérités absolues, les personnes comme des êtres simples, sans alliage, bons ou mauvais absolument.
Strada est d’une autre époque : travailleur acharné, comme Zola, il n’a pas, comme ce dernier, l’intuition de l’humanité future, il se contente de croire en la science, divinité de l’Erreur ; il est naturaliste métaphysique !