Aux termes presque désespérés où nous en sommes avec la philosophie, c’était une bonne nouvelle, en effet, que la venue d’un vigoureux esprit qui la relevât, cette agonisante, du grabat d’erreurs et de misères sur lequel elle expire, et lui fit faire ce pas en avant dont la trace doit rester, comme un sillon glorieux, sur le chemin du xixe siècle ! […] Et quant à l’Esquisse d’une philosophie, ce syncrétisme éblouissant, mais confus, cette mosaïque où tout se trouve, excepté la vérité, le nom célèbre de son auteur n’en put cacher sous son éclat les nombreuses erreurs et les faiblesses.
Erreur, extravagance de la plèbe de la création. […] de l’homme fossile, il explique comme quoi l’esprit intérieur a moulé les crânes : « Certainement, — dit-il, en ce chapitre gorgé d’erreurs qui ressemblent à des folies, — certainement !