Mais, par une fatalité de choix, la lettre est remise au moribond lui-même par suite de l’erreur qu’entraîne l’identité de nom.
Je me serai certainement plus d’une fois trompé, car nul d’entre nous n’est à l’abri de l’erreur, surtout en des matières où le goût personnel tient une telle place et représente un élément déformateur propre à celui qui écrit.