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845. (1864) Physiologie des écrivains et des artistes ou Essai de critique naturelle

Car comment apprécier l’œuvre sans connaître l’homme tout entier ? […] Becq de Fouquières, dit avec un sentiment fort juste : « André Chénier a, dans l’âme de sa mère, respiré la Grèce tout entière. […] Comment donc le corps tout entier, avec tout ce qui s’y rapporte, n’aurait-il pas la sienne aussi ? […] Enfin sa santé tout entière s’altéra si gravement que les promenades devinrent impossibles. […] La loi de l’art, dans ce pays, comme celle de la société tout entière, était l’immobilité.

846. (1914) En lisant Molière. L’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Le titre ne peut pas être expliqué avec une entière certitude. […] La Comtesse d’Escarbagnas est tout entière en mœurs provinciales. […] Orgon est tout entier ‘ridicule. […] — Mais la pièce tout entière n’est-elle pas contre les médecins ? […] Mais d’abord ses sots honnêtes gens, Molière ne les abandonne pas tout entiers à la risée.

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