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2627. (1908) Esquisses et souvenirs pp. 7-341

Il passe des mois entiers sous la tente, au désert, et il rapporte des toiles où la lumière et les ombres vivent de leur propre vie. […] Enfin, au commencement de mars 1895, après une nuit entière consacrée au travail et au doute, lorsque parut l’aube claire, la fille d’Agamemnon fit entendre sa voix dans les scènes II et III du deuxième acte. […] … Oublierai-je jamais ce grand olivier que j’ai vu au bord du chemin, étouffant sous un lierre sombre et serré qui l’enveloppait tout entier !

2628. (1899) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Septième série « Discours prononcé à la société des visiteurs des pauvres. » pp. 230-304

Ce que je ne puis vous dire, c’est, dans cette histoire un peu éparse et que je suis loin de vous avoir résumée tout entière, l’esprit, l’observation pénétrante, la finesse des remarques sur le train de la société actuelle (exemple : « Il y a aujourd’hui tant de déclassés qu’ils formeront bientôt une classe »), et, partout, l’admirable naturel du dialogue.

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