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2586. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Les nièces de Mazarin et son dernier petit-neveu le duc de Nivernais. Les Nièces de Mazarin, études de mœurs et de caractères au xviie  siècle, par Amédée Renée, 2e éd. revue et augmentée de documents inédits. Paris, Firmin Didot, 1856. » pp. 376-411

Ce double hommage était bien dû au duc de Nivernais, qui, membre de l’Académie française depuis 1743, avait fait partie durant cinquante ans de l’illustre compagnie, en était devenu le doyen, l’avait présidée plus souvent qu’aucun autre dans des occasions brillantes, en avait vu la ruine, et était mort avant l’entière réparation.

2587. (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCIIe entretien. Vie du Tasse (2e partie) » pp. 65-128

Alphonse céda à leurs sollicitations ; il prit Torquato à son service personnel, il lui accorda une pension de seize couronnes d’or par mois, et il le dispensa de toute fonction et de toute assiduité pour le laisser tout entier à la poésie, seul service digne de son génie.

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