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424. (1894) Journal des Goncourt. Tome VII (1885-1888) « Année 1885 » pp. 3-97

» Car cet enfant a une terreur de la mort, et demande, de temps en temps, avec un intérêt tout particulier, des nouvelles de M.  […] » phrase qui faisait naître dans l’esprit de l’enfant, l’idée d’une localité, où son oncle se rendait la nuit. […] C’est étonnant comme sur ces culs-de-sac transcendantaux, on se sent inférieur, parlant comme tout le monde, pas mieux que des enfants. […] qui, en dépit de son poil noir et de sa bruyance, est le meilleur bon enfant de la terre ! […] Et elle raconte, au milieu de l’attendrissement de tout l’omnibus, et du conducteur qui ne fait que se moucher, pour dissimuler ses larmes, elle raconte la mort d’un premier, d’un second enfant.

425. (1908) Jean Racine pp. 1-325

Jamais, je crois, enfant n’a reçu une éducation pareille. […] Ce fut sûrement lui qui communiqua à l’enfant la flamme littéraire. […] Ce sont des vers d’enfant, et c’est très bien ainsi. […] Mais, si elle refuse, l’enfant mourra. […] Encore enfant, elle se donne au vieux Lépide parce qu’il était riche.

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